par Didier Bernateau : un épisode bolivien, en attendant le livre complet; cette fois, il s’agit de faire parvenir un message urgent à temps, mais à quel prix? et pourquoi? peut-être une question universelle : le message est-il moins important que le messager?
ça commence par l’urgence, absolue, impérative…
la circulation est intense, erratique, la signalétique illisible, et la faute arrive…mais il faut foncer, sauf qu’il n’était pas utile de défier la police…
Pas vraiment nécessaire , le doigt… et maintenant, va falloir assumer, hein?
et voilà, ça finit par arriver…le message va arriver, mais le messager, il n’est pas au bout de sa peine!
finalement, ça s’arrange après un peu d’adrénaline; le permis est tamponné contre une rançon que le taux de change rend ridicule, et il est temps de rentrer au bureau… mais au fait, c’était quoi, le message? quel message?
mais au fond , n’est-ce pas universel, que le message soit moins important que le messager? ou l’inverse, je ne sais plus?