On l’attendait : comment toute cette histoire allait-elle finir? il va falloir lire jusqu’au bout! Didier Bernateau
on peut se demander pourquoi Freud incarne le surmoi ? au point où on en est…
petite explication : le carnet de dessin où cette pochade se déroule avait servi lors d’une séance de modèle vivant à l’atelier 54 des ABA ; que faire? déchirer les pages? intégrer le modèle dans l’histoire? et bien voilà!
l’angoisse de la page blanche , heuh, couleur craft, et les affres de la chute…
et maintenant il « rentre dans les cases » après avoir été dépouillé de toutes choses et avoir recouvré ce qu’il pense être sa personne… c’est fou comme cette histoire peut en cacher plein d’autres…
remarquez: tant qu’il avait quelque chose à perdre, pas de problème existentiel, mais maintenant c’est pas pareil : dans quelle histoire il s’est fourré, le gars ?
alors , vous pensiez qu’on allait vous concocter une belle chute, bien arrangée et tout? mais trop facile! va falloir bosser!!!
Avec, par ordre d’apparition :
- La victime
- Son démon kidnappeur
- L’ombre de la victime
- Diogène
- L’homme qui avait perdu son reflet
- Le vendeur d’ombre
- Le son et les mots de la victime
- La lumière de la victime
- Le reflet de la victime
- Mnémosyne
- Freud, surnommé « le surmoi »
- Un modèle (vivant) de l’atelier des ABA Paris
- L’auteur
Scénario, décors et personnages : l’auteur
D’après un certain nombre d’angoisses, phobies et autres névroses, et aussi contes de Schlémil traduit par Chamisso, Lacan et autre Maupassant, et un peu de Faust, tant que l’on y est…
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